La vie courante fait partie d’un cycle intitulé S’il arrive (ce qui arrive), écrit par Dominique Balaÿ et qui a fait l’objet de diverses mises en jeu (lectures, montages sonores, festivals) et publications (recueil, revues).
Ce texte s’efforce de traduire/produire un phénomène de concentration où le rapport au monde finit par se jouer autour de simples perceptions sonores :
“mais rien n’alterne avec une pensée, des bruits seuls”.